Musique : Blonde RedHead "3 O'clock"
Quelque part un ciel.
Musique : Madeleine Cazenave "Brumaire VIII"
J'ai du attendre pour partager celle-ci. Septembre septembre. Du ciel partout, des oiseaux plein les poches.
Musique : Death Blues "Participant"
Avec le feu, avec le ciel, avec éclats.
Musique : George Brassens "L'orage"
Un bout de mon ciel écroulé.
Musique : The Shoes "Time to dance"
Plus de bras que de branches
Qui cherchent et s'agitent
Qui cherchent sous l'écorce
la physique ennemie.
Plus de bras que de branches
Et à leurs pieds la sève
Leurs racines boivent au ciel
L'espoir de devenir
Cimes
Musique : Susanne Sundfør "A night at salle Pleyel : Movement 1"
Les faiseurs de ciel.
Musique : Dinah Washington
Troisième partie
Il regarde le ciel plus souvent, assez longtemps pour voir, de l'ether plein les yeux, passer les nuées, le vol froissé des oiseaux de papier.
J'ai mal au yeux, encore... j'en ai marre de cet ordinateur qui me ronge la rétine, je vais pas tarder à pleurer du sang.
Une averse. Avec le temps qu'il fait, c'est quasi providentiel. Le site a eu pas mal de problème aujourd'hui, il va falloir que je déplace le journal pour le mettre sur ether-elegia, mince ça va être très long et chiant... la nouvelle adresse c'est : www.ether-elegia.com
Les préparatifs pour l'exposition sont terminés (pour ma part), je suis donc officiellement en vacance. J'ai envie de dormir, une semaine serait parfait.
Bon...j'avais dit que je n'aurais plus jamais d'excuse pour le retard que je prendrais sur le journal...et bien finalement j'avais tort, je peux encore en trouver.
Pas moyen de me lever...il est des jours comme aujourd'hui où il semble qu'une étrange force nous maintienne coucher... je suis malade je suis seul; j'ai pas envie de crever seul un dimanche.
Je suis malade... je déteste ça, fatigue et envie de dormir; je sens mon cœur dans tous mes membres.
Rêves et désillusions... je pars quelques jours.
Musique : Muse "Shine"
il en faut peu parfois pour que la vie nous paraisse autre. Les choses sont, ou plutôt paraissent différentes selon l'endroit d'où on les regarde. Rien n'est plus tragique que le bonheur des autres sous un certain angle.
Musique : Goldfrapp "Utopia"
Le plus difficile dans ce genre d'exercice, c'est sans doute de réfléchir à ce qu'en penseront les proches... Souvent c'est dans cet entourage même que se trouve les personnes qui nous connaissent le moins... il existe une peur - celle du masque tombant - nous laissant nu devant des gens qui nous pensaient autre. L'aveu du mensonge quotidien.